JOURNAL
INTIME

Le Cyber Coming-Out (5ème partie)



10/12/00
02h25


  Suite aux nombreux mails que j'ai reçus en réponse à mon journal en ligne, je me suis finalement décidé à faire une mise à jour. Car depuis ma dernière entrée (fin novembre 1998), les choses ont quelque peu évoluées (même si au final, je me retrouve quasiment au même point, mais j'y reviendrai plus tard…). J'en profite pour remercier toutes les personnes qui m'ont écrit, pour leurs témoignages et messages de sympathie.

Devant les demandes répétées de certains de ces lecteurs (ou devrais-je dire "visiteurs" ?) de mes pages, un ami à moi a décidé de faire un très rapide résumé de la situation, au début de cette année : il s'agit de la page intitulée "4ème partie". A présent, je vais moi aussi essayer de vous raconter le mieux possible ce qui s'est passé depuis fin 1998. Quoi qu'il en soit, le style risque d'être assez brouillon…





Dans ma dernière entrée de 1998, je vous parle de ma rencontre avec Guillaume, un étudiant de ma promotion dans mon école d'ingénieur. Autant que je m'en souvienne, je suis tombé sous son charme dès la première fois où je l'ai vu. D'un naturel plutôt timide en général, je me souviens pourtant d'avoir voulu "entrer en contact avec lui" (par là, j'entends "engager la discussion") très rapidement. C'est amusant comme on se souvient de détails idiots : je me rappelle l'avoir abordé en lui proposant de lui imprimer une copie de l'emploi du temps (NDLR: à l'époque, les emplois du temps étaient affichés sur un tableau, mais n'étaient pas distribués, alors je les recopiais sous Excel pour une avoir une version "propre", d'où la proposition de lui en imprimer une copie). On est très vite devenus copains (d'autant qu'il est quelqu'un de plutôt facile à aborder, de par son caractère jovial), et à mon sens, une certaine amitié s'est vite développée. Je dis "à mon sens", parce que je n'ai jamais su mesurer à quel point ce que j'estime être de l'amitié peut l'être pour la personne concernée. (NDLR: ça y est, je commence déjà à faire des phrases syntaxiquement à la limite de l'acceptable)

Pour faire court, je suis très vite passé de "sous le charme" à "absolument amoureux" de Guillaume, cet être charmant qui prenait (prend toujours ?) un malin plaisir à susciter la curiosité en étant autant mystérieux que possible, ou en jouant le guignol pour cacher sa personnalité "intérieure" (enfin ça, c'est mon point de vue… ça n'engage que moi).

A cette période, je passais donc le plus de temps possible à ses côtés, allant jusqu'à m'arranger pour échanger de binôme de TP à l'école avec un autre copain, pour me retrouver avec lui en TP d'électronique. Plus tard, j'ai fait mon possible pour faire mon "projet de 1ère année" (en l'occurrence, la réalisation d'un logiciel sous Visual Basic), ainsi que mon projet de mathématiques (un autre logiciel)… avec lui. je me souviens de cette période comme un moment où tout était pour le mieux : on s'entendait super bien, on riait pour les même choses (futiles), et il me semble qu'on se complétait bien pour nos projets scolaires, d'autant qu'on avait la même "sensibilité" face à l'informatique (pour peu qu'on puisse parler de "sensibilité" dans ce domaine). Et facteur important : il me semble que j'avais réussi à gagner partiellement sa confiance, et, bien évidemment, je lui donnais toute confiance. Pourquoi je précise ça ? Parce que pour moi, la confiance est un élément extrêmement important dans une relation d'amitié.

NDLR : je me rends compte que je conjugue tout au passé ("on avait", "je lui donnais", etc…). Certes, ça s'est passé il y a près de deux ans, mais je veux tout de même préciser que toutes ces affirmations sont encore exactes -ou du moins je l'espère-. Si je continue à parler au passé révolu, il faudra donc corriger de vous même :)

Toujours à cette époque, comme l'a précisé Luc dans la "4è partie" qu'il a écrite, il arrivait assez fréquemment à Guillaume de passer chez moi (alors que ça lui imposait quand même 2km de marche à pied) (NDLR: ça, par contre, je l'écris à juste titre au passé révolu… ça fait bien longtemps qu'il n'est plus venu me voir chez moi). Il faut dire qu'à l'époque (en tout début de notre 1ère année d'école d'ingénieur), j'étais une des rares personnes à avoir un PC chez soi, de qui plus est équipé d'une connexion Internet. Je me souviens très bien de ces soirées passées à discuter sur IRC ("Internet Relay Chat" est un système de discussion en direct, pour ceux qui ne connaissent pas)… soirées qui se transformaient même parfois en nuits complètes, ou tout au moins, se terminaient assez tard pour que Guillaume choisisse de dormir chez moi plutôt que de rentrer chez lui à pied en pleine nuit.
Nous avons ainsi eu plusieurs fois l'occasion de dormir ensemble (en tout bien tout honneur), comme je l'avais d'ailleurs déjà écrit dans ce journal à l'époque. Vous pouvez imaginer à quel point j'étais content… Pouvoir dormir en sa compagnie, autant dire que j'étais sur un petit nuage.
J'aurais bien évidemment souhaité pouvoir aller "plus loin" : me blottir contre lui, ou encore le serrer dans mes bras. Je me souviens y avoir souvent pensé, mais jamais je n'aurais osé le faire. Je dirais même plus : jamais je n'ai osé le faire !

A cette période s'est également déroulé un événement qui m'avait particulièrement marqué : un soir, suite à un problème de coeur (sur lequel je ne m'étendrai pas, car je ne souhaite pas dévoiler la vie intime des autres), Guillaume m'a téléphoné, pour discuter et être réconforté. C'est bête à dire, mais ça ne m'était jamais arrivé ! Qui pourrait avoir envie de se confier à quelqu'un de si timide et renfermé que moi ? Bon, si ça se trouve, il ne m'a peut-être téléphoné qu'à défaut de mieux, ses autres amis n'étant peut-être pas joignables, mais au final, c'est bien moi qu'il a eu au bout du fil (pendant près de 4h il me semble). Et ça, ça m'a réellement marqué. Je m'en souviendrai longtemps. Merci Guillaume.
Bien évidemment, si problème de coeur il y avait, c'était lié à une fille... et il s'agit d'un domaine dans lequel je ne suis pas expert :) La seule chose que je pouvais faire, c'était l'écouter et le réconforter autant que cela m'était possible. Je dois même dire qu'à un moment, j'ai failli craquer et lui avouer mes sentiments au téléphone. Mais cela aurait été une bien mauvaise idée, et n'aurait probablement rien amélioré à la situation.
Quoi qu'il en soit, cela aura été une des très rares fois (si ce n'est la seule) où il se sera dévoilé un peu...

Pour dire à quel point j'étais "contaminé", voici une anecdote qui m'a relativement marqué : je ne sais pas si j'en ai déjà parlé, mais il se trouve que Guillaume est gymnaste (NDLR: logique, quand on voit son physique de rêve) (NDLR2: je l'ai même convaincu de me donner sa vieille licence de gymanstique de 1997, que j'ai trouvé un jour... il est super mignon sur la photo :) ). Je tenais donc particulièrement à le voir à l'œuvre. Or, j'ai appris un jour qu'il avait prévu d'arrêter ce sport (une des raisons étant que son équipe est près de Paris, et qu'il n'y retourne pas suffisamment souvent pour suivre correctement les entraînements…), et que sa dernière compétition se déroulerait près de Lille, un week-end (une demi-finale nationale). Me voici donc parti à Lille, un vendredi soir, sans prévenir mes parents (bien évidemment, qu'aurais-je pu leur dire ?). J'avais tout prévu, en écrivant à l'office du tourisme de Lille pour connaître les hôtels du coin, avoir les plans nécessaires, etc… J'avais même prévenu Guillaume que je m'y rendrai, mais il ne m'a probablement pas trop cru.
Une fois sur place, pour commencer, je me trompe de gymnase (une compétition de gymnastique féminine y avait lieu !). Mon plan à la main, je traverse donc tout Lambersart (une ville accolée à Lille) à la recherche du bon gymnase. Une fois sur place, j'apprends que l'équipe de Guillaume n'y passera que… le lendemain (dimanche). Je profite donc de la soirée pour visiter Lille, une ville tout à mon goût, en passant. J'attends également (en vain) un éventuel coup de fil de Guillaume, puisque je lui avait proposé qu'il m'appelle pour qu'on se voie ce soir là…
Dimanche matin, horreur, je me suis levé trop tard ! Je fonce donc au gymnase en taxi (bonjour le portefeuille :) ), pour apprendre… que finalement l'équipe de Guillaume passera en début d'après-midi ! Je passe donc les quelques heures qui me restent à tuer en marchant dans les rues de Lambersart. Puis arrive (enfin) le moment tant attendu : Guillaume et son équipe entrent dans le gymnase sous les applaudissements du public (…et surtout les miens :) ). Bien évidemment, je ne manque pas de prendre quelques photos de ses prestations aux différents agrès. Dans sa concentration, il ne me voit même pas alors que je me tiens debout à deux mètres de lui… jusqu'à ce que je me décide à l'aborder. Il a l'air surpris, mais pas forcément en bien… Je préfère donc ne pas le déranger dans sa compétition, et de toutes façons, il doit rapidement ressortir du gymnase avec son équipe, vers la zone d'échauffement, pour laisser place aux équipes suivantes. Je l'attends, mais ne le voyant pas revenir, je décide finalement de repartir m'aérer dans les rues de Lambersart, m'arrangeant pour être de retour lors de l'annonce des résultats. Son équipe est qualifiée pour la finale "plateau B". J'arrive à le croiser alors qu'il s'apprête à repartir vers Paris avec son équipe.
Pour ma part, mon hôtel est réservé pour la nuit à venir, et mon billet de train n'est que pour lundi après-midi. Déçu de n'avoir pas pu passer plus de temps avec lui, j'avance ma réservation de train à lundi en début de matinée, et je passe une nuit -triste-, à Lille.
Mais le coup de grâce m'attendait encore : en discutant de ce week-end avec lui, j'apprends que j'avais dormi dans le même hôtel que lui ! Je passe tout un week-end à Lille, on dort dans le même hôtel, et au final, je ne l'ai réellement vu que l'espace de quelques minutes ! Ca m'apprendra à faire des trucs de ce genre…

C'est aussi à cette période que presque tous les matins, avant que nous nous rendions à notre école, je lui apportais des croissants pour le petit déjeuner, que nous prenions ensemble, chez lui... un moment particulièrement privilégié avec lui. Cette attention quelque peu particulière aurait pu sembler bizarre aux yeux des personnes qui étaient au courant, mais... je n'ai jamais entendu aucune réflexion à ce sujet (heureusement, parce que je n'aurais pas su quoi répondre...).

Cette situation a duré jusqu'à la fin de l'année scolaire (juin 1999). Je fais donc un raccourci temporel jusqu'à ce moment où j'ai appris que je redoublais ma 1ère année. Non pas que j'avais négligé mon année "à cause de Guillaume" (comme certains pourraient le penser), mais disons que je n'étais pas très motivé par les cours qui étaient donnés à l'époque. J'étais bien entendu déçu de ce résultat vis à vis de mon cursus scolaire, mais il faut bien dire qu'avant tout, ce qui me chagrinait, c'était de ne plus être dans la même promo que Guillaume. Car cela signifiait bien évidemment que l'on se verrait moins… beaucoup moins.
En début d'année (scolaire) suivante, je nageais dans un sentiment de tristesse permanente. Je n'avais même pas envie de nouer le contact avec mes nouveaux camarades de promotion. Au contraire, je préférais rester dans mon coin à me morfondre sur mon sort, à penser ce que serait ma vie si j'étais avec guillaume (oui, je sais, j'étais particulièrement grave -et ça n'a d'ailleurs pas énormément changé-).

C'est à peu près à cette époque que j'ai fait mon coming-out auprès de celui qui a par la suite rédigé la "4ème partie" de ce site. C'est à cette occasion qu'on en est venu à parler de mon journal intime, qu'il a insisté pour lire… et c'est de là qu'est né ce site.

Quelques mois plus tard, fin décembre, un copain nous a invités à passer quelques jours en Normandie, dans la maison de ses grands-parents, pour passer le nouvel an. Nous étions cinq sur place. Je pense qu'il est inutile de les nommer, ça m'évitera de trouver des prénoms de remplacement à tout le monde pour respecter leur anonymité :) ). En tout cas, pour moi, c'était une aubaine : presque une semaine complète en compagnie quasi-permanente de Guillaume.

Je me rends compte que j'ai oublié de préciser une chose : au fur et à mesure que le temps passait, un sentiment d'ambiguïté croissait en moi : en clair, je me demandais de plus en plus quelle était la sexualité réelle de Guillaume. Si au départ, j'étais persuadé que je n'avais aucune chance car il était hétéro, j'ai fini par me demander s'il n'était pas un "homo refoulé" (comme on dit). Certains signes (son comportement dans certaines situations, etc…) semblaient effectivement troublants pour un hétéro. En outre, cette idée m'arrangeait bien, et j'ai donc construit une sorte d'espoir d'une relation qui soit éventuellement plus que de l'amitié. En outre, il faut préciser que tous mes essais de "gratter" pour tenter de lire au plus profond de Guillaume ont été vains. C'est une des choses sur lesquelles il reste extrêmement mystérieux.

Ce petit séjour en Normandie, propre aux contacts humains, a donc encore été l'occasion d'interrogations secrètes à son sujet. Mais bien évidemment, mon interprétation était toujours faussée par ce que je souhaitais : qu'il soit homo (ou "au moins" bi).
Et cette ré-interprétation permanente de ses faits et gestes peuvent parfois prendre des dimensions idiotes : il oublie de me dire bonjour, et hop, pour moi, ça veut dire qu'il est fâché. De façon générale, tous ses propos sont automatiquement interprétés et leur importance est "amplifiée". Une remarque banale au demeurant peut pour moi prendre des sens inimaginables. Je n'ai pas d'exemple sous la main, mais de toutes façons, c'est trop ridicule…

Bref, quelques semaines plus tard, je me lance, et je fais mon coming-out auprès de lui… par mail ! (on ne rigole pas… j'aurais jamais osé le faire en live)
Résultat : réaction plutôt neutre, cela ne semblait pas changer quoi que ce soit entre nous. Cela m'ôtait déjà un lourd poids : mon ami le plus cher, que dis-je, mon amour, n'était pas homophobe. Tout va bien.
Comme je l'ai dit, rien n'était changé entre nous, et c'est également vrai en ce qui concerne son comportement parfois ambigu… comme j'ai pu le constater lors d'un second voyage en Normandie, au même endroit. Je continuais donc à me poser des questions. Bref, je n'avais pas franchement avancé en faisant mon coming-out.
Alors finalement, après maintes hésitations, je lui ai avoué mon amour (j'aime bien ce terme d' "avouer", car il montre bien le caractère péjoratif de la chose : ce n'était pas une déclaration d'amour standard, mais l'aveu d'un amour "anormal", comme si c'était un crime).
Donc à présent, je suis fixé, Guillaume est (malheureusement) résolument hétéro. Je pense que ma déclaration l'a quelque peu troublé sur le coup, et c'est bien normal. Mais il l'a très bien pris, et cette fois encore, notre relation ne semble pas s'être détériorée. Ce que je craignais le plus, c'était de le perdre suite à mon annonce. Je suis donc parfaitement rassuré… mais tout de même triste de voir mes espoirs s'envoler.

Voici donc ma situation actuelle… je suis toujours un "cœur à prendre", mais je reste extrêmement (et c'est peu dire) attaché à Guillaume. Non pas que je me fasse toujours de faux espoirs, mais simplement, il est vrai que je tiens énormément à lui.
Ce qui me fait penser que très bientôt (en mars, je crois), il partira en stage de 3è année. (NDLR: Entre temps, j'ai effectivement eu confirmation que c'est dans trois mois qu'il s'en va, comme il l'a lui-même dit "inocemment" au cours d'une soirée très récente : "De toutes façons, dans trois mois, je me casse d'ici"...) Autrement dit, je ne le verrai plus du tout jusqu'à la remise de diplômes, en septembre. Et même là, ce sera le temps d'une soirée, et puis ce sera fini… à jamais.
C'est fou… je suis déjà triste, trois mois à l'avance, de ne plus pouvoir voir Guillaume…

Mais bon… profitons du moment présent !

Et pour tout dire, au moment présent, il y a dans mon ancienne promotion une autre personne tout à fait agréable... appelons-le Hervé. Je n'en ai pas parlé plus tôt, car il sort depuis environ deux ans avec une fille. Il a cependant lui aussi su entretenir une certaine ambiguïté dans ses sentiments. En en discutant récemment, il s'est d'ailleurs lui-même défini comme "potentiellement bisexuel à 15%". Les choses sont donc relativement claires à son sujet… Un hétéro de plus qui ne m'aura pas laissé indifférent… et la vie continue…

D'ailleurs à ce sujet, parfois, en relisant certains passages de mon journal, j'ai l'impression d'être quelqu'un d'extrêmement instable du point de vue sentimental. Surtout, par exemple, lorsque je tombais amoureux de tous les beaux jeunes hommes en prépa :) Une (bonne ?) excuse serait de dire que, sachant que tous ceux de qui je tombe amoureux sont hétéros, je n'avais pas de raison de me limiter à n'être "amoureux" que d'une seule personne à la fois. Mais qu'en sera-t-il lorsque je vivrai de façon stable avec quelqu'un (si cela m'arrive un jour) ? Continuerai-je à tomber amoureux d'autres personnes ? Seul l'avenir me le dira. Quoi qu'il en soit, j'ai reçu de nombreux témoignages d'autres homos qui avaient le même sentiment, et cela m'a plutôt rassuré.

Il faut aussi que je rajoute que récemment, un extrait de mon journal a été publié dans un livre. Il s'agit de Cher écran, de Philippe Lejeune. Cet auteur m'a contacté il y a environ un an, alors qu'il rédigeait un ouvrage sur les journaux intimes réalisés sur ordinateur, et sur ceux publiés sur Internet. Je dois avouer avoir été très étonné que mes quelques pages puissent intéresser un auteur (et surtout, un auteur que j'avais eu l'occasion d'étudier au lycée !). Mon journal y apparaît cependant un peu "à part", car il n'est pas aussi vivant qu'un "vrai" journal en ligne, rédigé au jour le jour. En effet, mon site n'est qu'une retranscription de mon journal rédigé sous Word, et cette entrée est la seule mise à jour depuis plus d'un an…

Y aura-t-il une suite ? Je n'en sais rien pour l'instant.
Dans l'immédiat, la chose la plus importante, c'est que normalement, Guillaume va très bientôt lire ce site. Car finalement, je me dis qu'il est préférable qu'il me connaisse le mieux possible, et qu'il sache réellement ce que j'éprouvais (éprouve toujours ?) pour lui.

Quoi qu'il en soit, ma mise à jour s'arrête là. Alors n'hésitez pas à me faire vos remarques par mail... je suis toujours content d'avoir du feed-back ! Et j'en profite pour un message personnel : Guillaume, si tu as lu ces pages jusque là, j'aimerais beaucoup que tu m'envoies un mail, ou bien que tu m'appelles, pour me dire tes impressions "à chaud"...






La suite : 6è partie (de nov. 2000 à juin 2003)

Un E-Mail ? gaytitnow@free.fr